Mangashi, histoire de la prépublication du manga en financement participatif !

Maxime Gendron lance une nouvelle campagne, cette fois-ci, sans la maison d’édition « les moutons électriques » !

Au programme : Mangashi, histoire de la prépublication du manga
Un livre sur les magazines de prépublications (mangashi) que vous connaissez tous au Japon (notamment le shonen jump) alors qu’en France, malgré quelques tentatives d’éditeurs comme Ki-oon, nous n’avons pas eu droit à ce genre de format :/

Le format du livre sera en 21 *21 cm et comptera 272 pages.
Les illustrations seront faites par Kriss avec une jolie couverture cartonnée.

Le sommaire

La campagne a déjà dépassé les 120% en une semaine, l’objectif est donc d’aller plus loin, elle se terminera le 8 avril.

Si vous voulez participer n’hésitez plus : ulule

Description du projet

Imaginez.
Vous rentrez des cours, du travail ou d’une balade et vous faites un détour par votre librairie ou un kiosque.
Sur les étagères, le dernier numéro de votre magazine de manga préféré vous attend.
Une fois chez vous, confortablement assis, vous ouvrez ses pages, laissez l’odeur de l’encre imprégner l’air, et plongez avec excitation dans le dernier chapitre de vos séries favorites.

Ces magazines de prépublication – ou mangashi – sont au cœur de l’industrie du manga au Japon.
Pourtant, en France, ils sont totalement absents.
Pas de Shōnen Jump, de Ribon ou de Big Comic dans nos kiosques.
Cette absence est d’autant plus étonnante que nous sommes le deuxième pays consommateur de mangas après le Japon et que le marché connaît une croissance fulgurante depuis 10 ans.

Comment expliquer ce paradoxe ?
Pourquoi ces magazines n’ont-ils jamais trouvé leur place en France ?

Pour répondre à ces questions, j’ai parcouru de nombreux ouvrages spécialisés… sans succès.
Les réponses manquaient.
J’ai alors décidé d’analyser ces magazines sous un angle inédit : en comparant la prépublication du manga au Japon et celle de bande dessinée puis du manga en France.
Entre histoire, économie et culture, j’ai découvert les véritables raisons de l’absence des magazines de manga en France… et pourquoi la situation pourrait bien changer !

La vidéo de présentation faite par Maxime Gendron

Sa chaine youtube : Maxime – L’ Archipel Otageek

Qui porte la collecte

Maxime Gendron :
Je suis passionné de manga depuis l’enfance, mais c’est en découvrant L’Histoire du manga de Karyn Nishimura-Poupée que j’ai commencé à m’intéresser à son évolution et à son industrie.
Lorsque je suis arrivé à Bordeaux pour mes études en édition, je savais que le sujet allait prendre une place importante dans ma vie, mais je n’imaginais pas à quel point !
Ce projet, je veux le porter de l’écriture à la commercialisation, en passant par la fabrication et le financement.
C’est un défi personnel que je me dois d’accomplir.
Une synthèse de tout ce que j’ai appris, entre mon exploration autodidacte de l’histoire du manga et mon travail d’éditeur.

L’Atelier de Kriss :
illustrateur et designer graphic, Kriss partage son amour pour l’art et les mangas avec ses créations fanart.
Il ajoute une dimension plus adulte aux personnages qu’il dessine à travers un style graphique épuré et contrasté.
Kriss a également réalisé les couvertures de livre pour Doc 7 (77 créatures étonnantes de légende) et Fabien Olicard (Cerebrum ; Mon projet n’attend plus).

Antoine Bonnici :
partenaire de longue date, Antoine a co-créé la chaîne Youtube L’Archipel Otageek avec moi il y a 8 ans.
Il a imaginé toute l’esthétique de la chaîne et monté de nombreuses vidéos. Pour ce projet, il a entièrement redessiné mes graphiques, ils en avaient bien besoin !

– Merci à Maxime Gendron de nous avoir contacté pour parler de ce nouveau financement participatif !!!

Nous espérons que cette campagne vous intéressera !
Et si ce type de sujet vous intéresse, n’hésitez pas à nous en informer en commentaire.
Si vous avez d’autres idées de campagnes à partager n’hésitez pas à nous contacter.