Tokyo Magnitude 8.0
# Bloc Technique
Titre original : 東京マグニチュード8.0 , Tokyo Magnitude 8.0
Genre : Aventure, Drame, Catastrophe
Durée : 11 épisodes de 25 minutes
Chara-design : Atsuko Nozaki
Réalisation : Masaki Tachibana
Scénario : Natsuko Takahashi
Studio d’animation : Bones et Kinema Citrus
Editeur Français : ADN – Voir les épisodes légalement : animedigitalnetwork
Date de diffusion : 10/07/2009 au 18/09/2009
Site officiel :
Opening : « Kimi no Uta » de abingdon boys school
Ending : « M/elody » de Shion Tsuji
Titre original : 東京マグニチュード8.0 , Tokyo Magnitude 8.0
Genre : Aventure, Drame, Catastrophe
Durée : 11 épisodes de 25 minutes
Chara-design : Atsuko Nozaki
Réalisation : Masaki Tachibana
Scénario : Natsuko Takahashi
Studio d’animation : Bones et Kinema Citrus
Editeur Français : ADN – Voir les épisodes légalement : animedigitalnetwork
Date de diffusion : 10/07/2009 au 18/09/2009
Site officiel :
Opening : « Kimi no Uta » de abingdon boys school
Ending : « M/elody » de Shion Tsuji
# Mon Synopsis
Centrée à Tokyo, l’histoire se focalise sur la famille Onozawa et plus précisément sur Mirai, écolière de douze ans et son frère, Yuuki, sept ans, qui entrent en vacances estivales.
La première s’apparente à une enfant qui a tendance à se plaindre et à pester en permanence à cause de ses parents négligeant et trop accaparés par leur travail, tandis que le second, toujours très enfant, dégage de la gaieté et de l’allégresse.
L’incapacité des parents à s’attarder sur leurs enfants mènera Mirai, sur la persistance de sa mère, à être contrainte d’accompagner son frère à une exposition de robots à Odaiba qui tenait le jeune garçon à coeur.
Suite à la visite de cette exposition, et alors que les deux enfants s’apprêtent à quitter les lieux, un séisme d’une magnitude 8 sur l’échelle de Richter s’abat sur Tokyo et saccage le bâtiment de l’exposition robotique…
Mirai, saine et sauve, se met à la recherche de Yuuki qui était précédemment parti aux toilettes, avec l’aide de Mari Kusakabe, une jeune femme attentif aux malheurs de la jeune collégienne.
La première s’apparente à une enfant qui a tendance à se plaindre et à pester en permanence à cause de ses parents négligeant et trop accaparés par leur travail, tandis que le second, toujours très enfant, dégage de la gaieté et de l’allégresse.
L’incapacité des parents à s’attarder sur leurs enfants mènera Mirai, sur la persistance de sa mère, à être contrainte d’accompagner son frère à une exposition de robots à Odaiba qui tenait le jeune garçon à coeur.
Suite à la visite de cette exposition, et alors que les deux enfants s’apprêtent à quitter les lieux, un séisme d’une magnitude 8 sur l’échelle de Richter s’abat sur Tokyo et saccage le bâtiment de l’exposition robotique…
Mirai, saine et sauve, se met à la recherche de Yuuki qui était précédemment parti aux toilettes, avec l’aide de Mari Kusakabe, une jeune femme attentif aux malheurs de la jeune collégienne.
# Mon Avis
Alors oui, le scénario n’est pas révolutionnaire et ne fait pas réellement d’effort pour nous proposer quelque chose de sapide et de suffisamment original…
C’est vrai.
La base est relativement simple et son développement ne dénote rien de suffisamment singulier à mettre en valeur…
C’est vrai.
Toutefois, il est à préciser que nous n’avons pas affaire à un bancal anime catastrophe nimbé par des myriades d’effets spéciaux qui délaissent l’intégralité des caractéristiques essentielles (jeu des persos’, des plans, de l’éclairage, de la sonorisation, du montage, etc …) censées composer une œuvre… (vi, vous devez penser à 2012 !)
Non, cet anime joue, certes sur son côté catastrophe/dramatique, mais met en avant un déroulement « tranche de vie » tout simplement bluffant à suivre, ceci grâce à un réalisme saillant et remarquablement mis en valeur.
Un réalisme qu’on retrouve, tout d’abord, dans les personnages qui sont les plus ordinaires possibles…
Mirai, jeune collégienne, qui subit ce qu’on peut communément appeler une crise d’adolescence, la maman accaparée par son travail néglige maladroitement ses enfants, le père couard qui n’arrive pas forcément à s’imposer…
La famille typique.
Ce réalisme se ressent davantage grâce au chara-design de Nozaki Atsuko, notamment par les expressions faciales des personnages qui restent admirablement crédibles, que ce soit pour la joie et l’horreur, ou l’ennui et la peur.
Il est à noter que les comportements des habitants, une fois la catastrophe survenue, marquent une forme de vérisme significative; pas de sauvetage au péril de sa vie, mais de l’égoïsme et du « sauve qui peut » sans occupation de l’entourage à outrance…
Le studio Bones met vraiment l’accent sur la forme réaliste de l’anime.
P’tit point noir, d’ailleurs, l’animation des personnages et leur gestuelles paraissent un peu rigides et engourdies mais ça reste rattrapé par une apparence visuelle de la catastrophe sismique bien animée qui démontre une certaine fragilité des bâtiments, ainsi qu’une ville de Tokyo qui a l’air minutieusement retranscrite, d’autant plus que les décors sont nombreux et variés et donnent vraiment l’impression de l’idée que je me faisais de Tokyo.
En somme, on sent le travail.
La musique, personnellement, ne m’a pas marqué et les thèmes sont assez sobres et furtifs…
L’opening et son ton rock, malgré les images éblouissantes de la ville de Tokyo ravagée, sont un peu en décallages avec le thème de l’anime, d’ailleurs…
C’est vrai.
La base est relativement simple et son développement ne dénote rien de suffisamment singulier à mettre en valeur…
C’est vrai.
Toutefois, il est à préciser que nous n’avons pas affaire à un bancal anime catastrophe nimbé par des myriades d’effets spéciaux qui délaissent l’intégralité des caractéristiques essentielles (jeu des persos’, des plans, de l’éclairage, de la sonorisation, du montage, etc …) censées composer une œuvre… (vi, vous devez penser à 2012 !)
Non, cet anime joue, certes sur son côté catastrophe/dramatique, mais met en avant un déroulement « tranche de vie » tout simplement bluffant à suivre, ceci grâce à un réalisme saillant et remarquablement mis en valeur.
Un réalisme qu’on retrouve, tout d’abord, dans les personnages qui sont les plus ordinaires possibles…
Mirai, jeune collégienne, qui subit ce qu’on peut communément appeler une crise d’adolescence, la maman accaparée par son travail néglige maladroitement ses enfants, le père couard qui n’arrive pas forcément à s’imposer…
La famille typique.
Ce réalisme se ressent davantage grâce au chara-design de Nozaki Atsuko, notamment par les expressions faciales des personnages qui restent admirablement crédibles, que ce soit pour la joie et l’horreur, ou l’ennui et la peur.
Il est à noter que les comportements des habitants, une fois la catastrophe survenue, marquent une forme de vérisme significative; pas de sauvetage au péril de sa vie, mais de l’égoïsme et du « sauve qui peut » sans occupation de l’entourage à outrance…
Le studio Bones met vraiment l’accent sur la forme réaliste de l’anime.
P’tit point noir, d’ailleurs, l’animation des personnages et leur gestuelles paraissent un peu rigides et engourdies mais ça reste rattrapé par une apparence visuelle de la catastrophe sismique bien animée qui démontre une certaine fragilité des bâtiments, ainsi qu’une ville de Tokyo qui a l’air minutieusement retranscrite, d’autant plus que les décors sont nombreux et variés et donnent vraiment l’impression de l’idée que je me faisais de Tokyo.
En somme, on sent le travail.
La musique, personnellement, ne m’a pas marqué et les thèmes sont assez sobres et furtifs…
L’opening et son ton rock, malgré les images éblouissantes de la ville de Tokyo ravagée, sont un peu en décallages avec le thème de l’anime, d’ailleurs…
Pour conclure, j’ai trouvé l’anime vraiment bon et agréable à suivre…
Le réalisme et la qualité graphique sont prenantes et la malencontreuse aventure des personnages, bien que sobres, restent passionnantes et émouvantes à suivre. P’is, c’du Bones, c’t’un gage de qualité. =D
‘vous le conseille !!
# Vidéo
Les derniers articles par Alcmeon (tout voir)
- Monogatari - 08/12/2023
- Galerie Higashi no Eden. - 23/06/2022
- Higashi no Eden. - 23/06/2022
(Visited 48 times, 1 visits today)
Classement des animés les plus tristes