Beelzebub

Tatsumi Oga, un lycéen de première année dans un lycée de délinquant se voit un jour confronté à une bande de voyous qui le prennent en groupe… Issu du combat ?

« Agenouillez-vous tous devant le grand moi. » Et oui, Oga est également un petit délinquant…

Et pas des moindres. Il semblerait qu’il soit naturellement doté de bonnes caractéristiques pour se battre, ou plutôt lui aussi considère que son cerveau n’est qu’un muscle… ou bien ses muscles sont son cerveau ?

Bref, vous l’aurez compris, un anti-héros bagarreur et abruti, cet Oga Tatsumi. Sa vie aurait continué à être ainsi, s’il n’avait pas par hasard un jour aperçu un homme flottant au milieu de la rivière, qu’il ramène à la rive.

Intrigué par cet homme, Oga n’aura pas le temps de se poser la moindre question que ce mystérieux homme ouvre son corps en deux, laissant apparaître un bébé : Beelzebub. Alors qu’il tente de sourir, Oga se voit grimacer un terrible sourire malfaisant envers le bébé, qui ne tarde pas à s’attacher à lui…

Suite à cela, le bébé ne le lâchera plus, et il sera désigné son parent par sa nourrice, Hidegarde, ou Hilda pour les intimes, qui expliquera que ce bambin est le prince des enfers et qu’il a été amené en ce monde afin de trouver un parent et d’être élevé de sorte à pouvoir conquérir le monde plus tard… Dans quel pétrin Oga s’est-il fourré encore… ?

S’inspirant librement des mythes de l’enfer, Beelzebub est un bon manga humoristique avec de la baston auxquels on s’attachera facilement au côté malsain de la société…
Du moins, les héros paraissent être des justiciers, tout en étant des anti-héros…
C’est ce côté méchant soupoudré abondamment d’humour qui fait de Beelzebub un nouveau Hit, sur les thèmes de « jeune père malgré lui » et « l’homme, le vrai ».
Manga incontournable à suivre pour ces prochaines parutions.